La société du jour: Syndicat des coproprietaires residence moulin st georges

Découvrez une entreprise par jour et quelques astuces au travers de nos différents articles

Syndicat des coproprietaires residence moulin st georges

La société Syndicat des coproprietaires residence moulin st georges a été créée le 1/10/2007, soit 15 années d'activités. Le siège de la société est basé à AGEN 47000. Elle possède un seul établissement. Son dernier bilan date du 25/8/2020. Elle emploie 1 ou 2 salariés. Syndicat des coproprietaires residence moulin st georges a choisi le statut juridique Syndicat de copropriété. Elle opère sous le code NAF 81.10Z et évolue dans le secteur .

Syndicat de copropriété, c'est quoi ?

Le syndicat de copropriété est la collectivité regroupant les copropriétaires de l'immeuble. Il est chargé de la gestion et de la conservation des parties communes d'une copropriété dans un immeuble. Sa mission est aussi plus étendue.

Droit français

Le syndicat des copropriétaires est une personne morale de droit privé. Il peut agir en justice et souscrire des contrats. Ses décisions sont prises en assemblée générale réunie sur convocation du syndic de copropriété. Le syndic de copropriété est la personne morale ou physique chargée de la représentation du syndicat des copropriétaires et de l'administration des parties communes d'une copropriété. Le syndicat de copropriété est une collectivité qui regroupe tous les copropriétaires d’un immeuble. Quand une personne achète un bien immobilier dans une copropriété (c'est-à-dire quand elle signe le contrat de vente), elle devient automatiquement l'un des membres de droit du syndicat. Ce syndicat a un objet très précis, défini par la loi : la conservation de l'immeuble et l'administration des parties communes. Ces dernières ne lui appartiennent pas, puisqu'elles sont, suivant les cas, la propriété indivise de l'ensemble des copropriétaires ou de certains d'entre eux, mais c'est le syndicat, en tant que tel, qui doit les administrer, les entretenir, etc., ce qui se fait par l'intermédiaire du syndic de copropriété. Constitué d'une petite équipe de copropriétaires désignée par l'assemblée générale, le conseil syndical a pour mission d'assister le syndic de copropriété et de contrôler sa gestion. Il est appelé aussi à faire le lien entre le syndic de copropriété et la copropriété. Toutes les copropriétés en sont normalement pourvues, à moins que la majorité des copropriétaires représentant au moins les 2/3 des tantièmes du syndicat s'y soit opposée en assemblée générale. C'est un organe de contrôle, d'assistance et de consultation du syndic de copropriété. Les fonctions de membre du conseil syndical sont bénévoles. Elles ne donnent donc lieu à aucune rémunération. Si les membres du conseil syndical font l'avance de frais pour exercer leur mission (adhésion à la chambre CSPC, à l'ARC-UNARC ou à l'ANCC par exemple), ils seront remboursés sur le budget de la copropriété. Les dépenses nécessitées par l'exécution de la mission du conseil syndical constituent des dépenses courantes d'administration. Elles sont supportées par le syndicat et réglées par le syndic. Afin de mener à bien les missions que lui confère la loi, le syndicat des copropriétaires possède la personnalité morale. Cela signifie qu'il constitue une entité distincte des copropriétaires, qu'il représente des intérêts collectifs qui dépassent les intérêts individuels des copropriétaires. Il est ainsi qualifié pour agir en justice si les intérêts de la copropriété sont menacés ou malmenés. Il peut, par exemple, acquérir des parties privatives ou vendre des parties communes pour le compte des copropriétaires. À l'inverse, il pourra également être poursuivi s'il a causé un préjudice à un copropriétaire ou à un tiers. Le syndicat peut voir sa responsabilité engagée par l'action directe d'un copropriétaire ou l'action oblique du titulaire d'un bail (bail commercial, professionnel, habitation) devant les tribunaux pour les dommages causés par le défaut d'entretien d'un ouvrage ou d'un équipement. Ce défaut peut, par exemple, être dû à la négligence ou la faute d'un gardien ou d'un employé de la copropriété, à un vice de construction ou à une malfaçon dans des travaux. Il incombe au syndicat de rechercher et mettre en jeu la responsabilité du constructeur ou des entreprises.

Droit québécois

En droit québécois, le syndicat des copropriétaires est décrit dans plusieurs dispositions du Code civil du Québec, dont les art. 306, 358, 1069, 1075, 1790, 2724, 2729, 2800 et 3061 C.c.Q. En vertu de l'art. 2724 C.c.Q. notamment, le syndicat des copropriétaires bénéficie d'une hypothèque légale.

Annexes

Syndic de copropriété Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU ou loi Gayssot) Glossaire de l'immobilier Portail du droit

81.10Z -

Le code APE - NAF 8110Z est unique et implique des droits et obligations spécifiques. A ce jour, 157770 sociétés sont immatriculées sous ce code qui concerne 54395 salariés, essentiellement des syndics.

Nous avons épluché l'ensemble des textes de loi pour que vous sachiez tout sur le code APE - NAF 8110Z : obligations, organismes de formations, conventions collectives applicables et assurances obligatoires.

La définition précise de l'activité du code APE ou NAF 8110Z est : "Activités combinées de soutien lié aux bâtiments".Lors de la création d'une société, le centre des formalités des entreprises recueille des informations sur votre société, qui seront transmises à l'INSEE. C'est cet organe de classification qui vous attribuera un des 732 codes présents dans les branches professionnelles en France. Même s'il n'y a pas de liste de métiers définie pour l'activité Activités combinées de soutien lié aux bâtiments, les salariés de cette branche sont essentiellement des syndics.

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La convention collective nationale (CCN) applicable est choisie par l'employeur en fonction de l'activité principale de l'entreprise. Un même code NAF peut regrouper plusieurs conventions, donc cet identifiant n'est pas toujours suffisant pour déterminer la convention collective applicable.

L'Identifiant de la Convention Collective (IDCC) d'une société est défini par le Ministère du travail, et permet de numéroter l'ensemble des conventions collectives applicables (il y en plus de 1000).

Ce sont les conventions collectives et les accords branche qui vont déterminer les principaux droits et devoirs du salarié : grille de salaire, préavis en cas de démission, congés payés, période d'essai, horaire de travail, couverture et prix de la mutuelle entreprise.

Le code APE n'est pas vraiment utile pour un chef d'entreprise car il n'a pas de valeur juridique et sert surtout pour les statistiques de l'INSEE. Cependant, il peut être utile pour savoir vers quelle convention collective se tourner. Par ailleurs, dans le cas d'appels d'offres par exemple, les prestataires sont parfois écartés si leur code APE ne correspond pas à celui exigé par le client final.

Si vous exercez plusieurs activités, le code NAF doit être celui de l'activité principale. Si le code NAF qui vous a été attribuée par l'INSEE n'est pas correct, vous pouvez envoyer un courrier de réclamation en y joignant ce formulaire de modification de code NAF 8110Z. Si votre activité a changé, vous pouvez contacter votre CFE.

Si vous êtes une société en création et que vous ne savez pas quel code NAF vous sera attribuée ou si vous n'êtes pas certain d'être bien enregistré; nous vous recommandons d'identifier une société qui a une activité similaire et regarder sous quel code NAF elle est enregistrée.

L'INSEE vous délivrera votre code d’activité en fonction de l'activité principale de votre entreprise. Vous retrouverez ensuite ce numéro sur :

Si vous démarrez l'activité de "Activités combinées de soutien lié aux bâtiments", vous devez choisir la forme juridique de votre société parmi de nombreuses possibilités.

Vous devrez également définir un objet social et faire les démarches auprès de votre CFE pour obtenir un numéro de SIREN.

L'activité 8110Z est une activité commerciale ou artisanale, par conséquent le régime est celui des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et non la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC), avec les conséquences suivantes :

Les centres de formalités des entreprises (CFE) sont des guichets uniques permettant aux entreprises de souscrire en un même lieu à l'ensemble des formalités nécessaires au démarrage de leur activité.

L'entreprise sera rattachée à l'activité artisanale si l'entreprise compte moins de 10 salariés et commerciale si l'entreprise compte 10 salariés et plus. Par ailleurs, les artisans-commerçants et les artisans qui créent une société commerciale doivent être inscrits simultanément au Registre du commerce et des sociétés et au Répertoire des métiers. 

Les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) ont été remplacés par les opérateurs de compétences (OPCO) le 1er avril 2019. Les OPCO sont donc désormais les organismes chargés de collecter les fonds de la formation continue professionnelle et de financer la formation des salariés.

Ci-après les OPCO pour l'organisme de formation relevant de l'activité Activités combinées de soutien lié aux bâtiments :

En 2019 et 2020, les entreprises devaient verser à un Opérateur de compétence (OPCO) la taxe d’apprentissage due à une date fixée par décret. Depuis début 2021, la contribution est faite via l’URSSAF sur le même modèle que les cotisations de la sécurité sociale.

En tant que micro-entrepreneur de l’activité “Activités combinées de soutien lié aux bâtiments”, les mêmes règles s’appliquent pour vous que les autres types de société. Vous avez obligatoirement un code NAF qui vous a été attribué en même temps que votre SIREN et vous avez la possibilité de le changer si il ne correspond plus à votre activité.

En revanche, la convention collective ne s’applique pas pour vous puisque vous êtes travailleur non salarié.

Les établissements de Syndicat des coproprietaires residence moulin st georges

L'établissement principal est domicilié au 213 rue lamennais, Agen 47000. La société possède aucun autre établissement. 0 établissement(s) ont été fermé depuis la création de la société.

Les concurrents

À Agen 47000, il y a 170 autres entreprises qui ont la même activité.

Qu'est ce qu'il y a savoir sur Agen ?

Agen (prononcé /a.ʒɛ̃/ en français standard et /a.ˈʒɛŋ/ localement) est une commune du Sud-Ouest de la France, préfecture du département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine. Avec ses 32 602 habitants en 2019, elle est la 246e commune de France par sa population. La ville est le siège de l'agglomération d'Agen, structure intercommunale regroupant 101 365 habitants (2019). Son unité urbaine rassemble, selon la définition de l'Insee, 80 456 habitants (2019) et se classe au 78e rang en France métropolitaine. Son aire d'attraction compte 120 576 habitants (2019). Cité bimillénaire établie au pied du coteau de l'Ermitage, qui fut le siège de l'oppidum gaulois des Nitiobroges, son histoire est intimement liée à celle de « Garonne », comme les Agenais nomment leur fleuve en le personnifiant. S'il fut nourricier et permit le développement du commerce, ses nombreuses crues redoutables ont donné à la ville la réputation d'être la plus inondée de France. Aujourd'hui protégées par des digues, la ville et son agglomération se sont largement étendues dans la vallée. Agen a conservé de son passé médiéval un important patrimoine architectural civil et religieux, enrichi à la fin du XIXe siècle par la construction d'immeubles de type haussmannien et de maisons Art nouveau et Art déco lors du percement de larges boulevards. Le nom d'Agen est couramment associé au pruneau, dont la zone de production est essentiellement située en Lot-et-Garonne et était autrefois expédié depuis le port de la ville sur la Garonne, ainsi qu'au rugby à XV par son club emblématique, le SU Agen, qui détient notamment huit titres de champion de France. L'activité d'Agen est aujourd'hui essentiellement tertiaire, administrative et commerçante. La ville entend cependant jouer son rôle de « capitale » de la moyenne Garonne, idéalement située à mi-chemin entre les métropoles de Bordeaux et Toulouse, en développant et favorisant le commerce (Parc commercial O'green, rénovation du cœur de ville), le tourisme familial (Walygator Sud-Ouest, navigation sur le canal latéral à la Garonne) et les affaires (construction d'un Centre des congrès) et les zones d'activité industrielle et commerciale (Agropole, Technopole Agen Garonne).

Géographie

Agen est située dans la vallée de la Garonne qui borde la commune à l'ouest. Celle-ci reçoit le ruisseau de la Masse (arrivant de Monbalen) au nord de la ville, au niveau du pont-canal. Au nord et à l'est, on retrouve les premières collines du pays de Serres (coteau de l'Ermitage, côte de Gaillard au nord, côte du Fromage à l'est). Au sud et à l'ouest, en revanche, on se situe dans la plaine de la Garonne, large d'environ 6 km à ce niveau. Agen est situé dans le Sud-Ouest de la France, dans le sud-est du département de Lot-et-Garonne, sur la rive droite de la Garonne et au bord du canal latéral à la Garonne. La ville se trouve entre Toulouse (115 km) et Bordeaux (140 km). Sur le plan historique et culturel, Agen fait partie de Agenais une ancienne circonscription de la province historique de Gascogne. Le territoire communal est bordé à l'ouest par la Garonne qui y reçoit deux de ses affluents, la Masse d'Agen (au Nord) et le Mondot (au Sud). La commune est également traversée par le canal de Garonne qui franchit le fleuve par un pont-canal. Du 1er juillet 1939 au 21 septembre 2005, la station est à l'aéroport d'Agen-la-Garenne à 44,17667, 0,595, à 59 m d'altitude.Depuis le 22 septembre 2005, la station est à 44,1722, 0,59472, à 58 m d'altitude. La ville bénéficie d'un climat tempéré doux en automne, avec des printemps le plus souvent pluvieux et humides, des étés assez chauds et secs et des hivers doux. L'hiver est doux et le mois de janvier le plus froid comporte des températures proches de 5 °C. Le record de température minimale a été enregistré à −21,9 °C en février 1956. Au printemps, les températures sont en hausse régulière avec des mois d'avril et de mai souvent pluvieux. L'été dure de 3 à 4 mois et est chaud, voire très chaud, et sec. Les records de chaleur sont réguliers avec des températures qui peuvent dépasser les 40 °C de juillet à août et des températures qui dépassent les 30 °C au printemps et en automne. Les orages sont des phénomènes réguliers dont les précipitations sont abondantes et ponctuelles. Enfin, l'automne est doux et peu pluvieux. Tableau comparatif des données météorologiques d'Agen et de quelques villes françaises Agen est situé à mi-chemin entre Bordeaux et Toulouse, sur un axe majeur de la vallée de la Garonne, emprunté depuis plusieurs milliers d'années. Aujourd'hui, la commune est traversée par la RD 813 (ancienne RN 113) menant au sud-est vers Toulouse et au nord-ouest vers Bordeaux. Un deuxième axe principal, l'autoroute A62, passe au sud de la ville. Ces deux axes de communication longent la Garonne et le canal latéral de la Garonne. Un troisième axe principal, la route nationale 21, mène au nord à Villeneuve-sur-Lot puis à Bergerac dans le département de la Dordogne et enfin Limoges en Haute-Vienne. Au sud, cette même nationale permet de rejoindre Auch dans le Gers, Tarbes et Lourdes (Hautes-Pyrénées). Les principales routes départementales sont, au nord-est, la route départementale 656 qui rejoint Tournon-d'Agenais puis Cahors dans le département du Lot, et au sud, la route départementale 931 qui rejoint au sud-ouest Condom et Eauze dans le département du Gers. L'aéroport Agen-La Garenne est situé sur la commune du Passage, à 3 km au sud-ouest d'Agen sur un ancien terrain militaire. Il est géré par le syndicat mixte pour l'aérodrome départemental de Lot-et-Garonne, composé du conseil général de Lot-et-Garonne, de la communauté d'agglomération d'Agen, de la Chambre de commerce et d'industrie et de la Chambre des métiers. Depuis le 1er janvier 2019 deux aller et retour quotidiens sont assurés par la compagnie Chalair Aviation permettant de rejoindre l'aéroport d'Orly à bord d'un ATR 42 de 48 sièges. En 2018, le nombre de passagers était de 31 371. L'aéroport n'assure pas le fret de marchandises.

Urbanisme

Agen est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,. Elle appartient à l'unité urbaine d'Agen, une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes et 80 456 habitants en 2019, dont elle est ville-centre,. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est la commune-centre. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants,. L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (76,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (72,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (62,8 %), zones agricoles hétérogènes (17,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,8 %), eaux continentales (3,1 %), prairies (2,3 %). L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui). Agen compte 21 629 logements en 2015. Les constructions neuves sont peu présentes puisqu'en 2013, seulement 22,8 % des résidences principales étaient postérieures à 1991. A contrario, les constructions antérieures à 1971 représentaient 54,5 % du parc. 82,6 % des logements sont des résidences principales, réparties à 29,7 % en maisons individuelles et à 69,7 % en appartements (respectivement 71,2 % et 27,6 % dans la région). La ville possède donc une majorité de logements collectifs contrairement au reste de la région. 31,3 % des habitants sont propriétaires de leur logement, contre 66 % qui sont locataires (respectivement 62,2 % et 35,5 % dans la région),. À noter qu’avec 3 059 logements HLM soit 19,7 % du parc en 1999 (10 % dans la région), la ville ne respecte pas tout à fait les dispositions de l’article 55 de la loi solidarité et renouvellement urbain (SRU) de décembre 2000 fixant à 20 % le taux minimum de logements sociaux pour les communes les plus importantes. On peut noter en outre que le nombre de logements vacants était assez important en 2015 avec 14,5 % du parc contre seulement 8,5 % dans la région,. La plupart des habitations possèdent 4 pièces ou plus (37,7 %), ou 3 pièces (29,2 %), puis 2 pièces (22,1 %). Les petits logements sont assez nombreux (studios : 11 %). La ville possède par conséquent des logements de taille modeste. Enfin il faut préciser que ces logements sont bien dotés puisque 98 % ont le chauffage central même si seuls 53,8 % des ménages possèdent un garage, box ou parking (respectivement 83 % et 71,1 % pour la région). Depuis les élections de mars 2008, la nouvelle équipe municipale conduite par Jean Dionis du Séjour a entrepris un programme de revitalisation du centre-ville : création de places de stationnement en périphérie avec navettes gratuites vers le centre-ville, piétonnisation du boulevard de la République (principale artère commerçante) et de ses rues adjacentes, création d'un multiplexe cinema aux portes du centre-ville dans le quartier du Pin, création d'une zone 30. Ces aménagements ont été poursuivis par la réfection du boulevard Carnot, autre axe majeur de la ville. Depuis début octobre 2013, une zone commerciale de 29,4 ha est en activité au sud de la commune. La commune, irriguée de voies cyclables, s'équipe de zones vertes ceinturant la ville le long de Garonne, et par le biais d'un parc naturel sur les lieux-dits de Passeligne et de Pélissier autour des lacs du même nom.

Toponymie

Le toponyme Agen est documenté au XVIIe siècle. Il est issu d'un ancien Aginnon (IIe siècle, Ptolémée), Aginnum (IIIe siècle, Itinéraire d'Antonin), basé sur un nom préceltique aginno signifiant « rocher, hauteur » et s'appliquant à l'oppidum de l'Ermitage, lui-même basé sur le radical oronymique *ag- . Cet étymon se retrouve dans les noms d'Ayen, Ayn ou encore Agino (Alava).

Histoire

Le site d'Agen fut vraisemblablement peuplé au moins dès le Néolithique mais il est difficile d'en dater l'origine exacte. Les vestiges que nous avons actuellement à notre disposition témoignent d'un peuplement d'origine ibère aux VIIIe et VIIe siècles av. J.-C. Cependant, le site occupé à cette époque était différent de celui que nous connaissons aujourd'hui : c'est le plateau de l'Ermitage. C'est d'ailleurs cette situation (sur un éperon rocheux) qui donnerait la clé de la toponymie de la cité. Le site, bien que se trouvant à la confluence de la vallée de la Masse et de la Garonne, n'est pas un des endroits les plus stratégiques de la vallée. Il est donc difficile d'expliquer par la seule géographie la raison pour laquelle les Nitiobroges (peuple Celte arrivé vers 400 avant Jésus-Christ) ont choisi cet endroit pour en faire la capitale de leur royaume. Ils avaient édifié sur ce site une place forte d'environ 50 hectares, située à 100 mètres au-dessus du lit de la Garonne. On a trouvé des traces de cette occupation du sol au XIXe siècle et plus récemment, grâce au travail de l'équipe des archéologues de l'Agenais. Le déplacement de la ville vers les terrasses de la Garonne est sans doute antérieur à l'occupation romaine. Il faut mettre en relation ce transfert avec la richesse des échanges commerciaux qui avaient lieu le long du fleuve ainsi que vers les Pyrénées et le Massif central. La découverte de la très riche tombe à char de Boé atteste de l’opulence des élites locales à la fin du Ier siècle av. J.-C. La ville gallo-romaine a laissé d'importantes et assez nombreuses traces. Mais elles ont pour la plupart été détruites et en particulier les plus intéressantes. Tout d'abord le théâtre, chose assez rare pour une ville de moyenne importance, d'autant plus qu'Aginnum était aussi doté d'un amphithéâtre (daté de 215 après Jésus-Christ) pouvant accueillir 10 000 à 15 000 personnes, nombre considérable. On a également des indices concernant l'existence d'au moins une nécropole. La ville s'étendait sur 80 hectares et était donc assez riche et surtout peuplée. Mais la prospérité était davantage liée à une activité de transit qu'à un véritable rôle de pôle commercial. Ce passage intense est à mettre en relation avec l'implantation précoce de la religion chrétienne. Dès la fin du IIIe siècle, les chroniques relatent les martyres de saint Caprais et sainte Foy, qui seraient enterrés à l'emplacement de l'actuelle église du Martrou. Au siècle suivant, l'Église chrétienne s'organise avec son premier évêque connu, Phébade, dont les travaux théologiques lui valurent un prestige dans toute la chrétienté. Comme pour beaucoup de cités, nous avons peu de documents concernant l'époque des Grandes Invasions. Pendant quatre siècles, Agen vit passer les Vandales, les Wisigoths puis les Francs avant de subir les assauts des Vikings au IXe siècle. Les historiens ont noté trois invasions : en 843, en 853 et la dernière en 922. L'invasion la plus destructrice est celle de 853. C'est après cette attaque que les reliques de sainte Foy ont été emportées à Conques, probablement entre 877 et 884. Pendant le haut Moyen Âge, Agen restait en Aquitaine aux abords de la Novempopulanie puis du duché de Vasconie. Après l'an 660, la Vasconie et l'Aquitaine sont devenues indépendantes des Francs et parviennent à leur apogée avec Eudes d'Aquitaine. En 732, les Sarrasins envahissent la Vasconie et Bordeaux, mais leur progression est arrêtée par Charles Martel et Eudes entre Poitiers et Tours. Pépin le Bref poursuit la conquête de toute l'Aquitaine et, en 766, les Vascons, ancêtres des Basques (appelés Wascones) se rendirent auprès de Pépin à Agen. La ville se replia sur elle-même et se fortifia dans sa première enceinte (une dizaine d'hectares) autour de la cathédrale Saint-Étienne (emplacement de l'actuel marché-parking couvert) et dont la fondation est difficile à dater. N'ayant jamais été totalement terminé, l'édifice s'est détérioré et menaçant de s'effondrer il a été démoli au début du XIXe siècle. C'est autour de ce noyau que s'est développée la ville médiévale dont la trame urbaine était organisée à partir de la rue des Cornières (dont il reste une partie) qui aboutissait place du Marché (aujourd'hui place des Laitiers) c'est-à-dire au pied de l'ancienne cathédrale. Les principaux vestiges de l'Agen médiéval sont des édifices religieux. On a déjà vu que la cathédrale Saint-Étienne a disparu. Mais le monument le plus magnifique est sans conteste l'église des Jacobins (aujourd'hui transformée en centre culturel). L'église est le dernier vestige du couvent des Jacobins (ou Dominicains) et date du XIIIe siècle. La construction, à l'exception des trois piliers centraux (en pierre) qui séparent le vaisseau en deux nefs, est réalisée en brique. Les récents travaux de restauration ont dégagé des peintures murales où figure Alphonse de Poitiers (seigneur de la ville et protecteur du couvent à sa construction). Elle fut le lieu de grands événements locaux ou régionaux : en 1354, le Prince noir y reçut l'hommage de 40 barons et en particulier celui de Gaston Fébus. La ville comptait un grand nombre d'autres édifices à caractère religieux, couvents ou églises comme l'actuelle cathédrale : la collégiale Saint-Caprais, en grande partie de style roman. Autour de l'église se trouvait un ensemble architectural servant à accueillir les chanoines : monastère, cloître… dont il ne reste que la salle capitulaire. Exploitant les rivalités féodales entre Plantagenêt (succédant aux comtes de Poitiers) et comtes de Toulouse puis entre rois d'Angleterre et Capétiens, évêques et habitants surent échapper à la tutelle de leurs seigneurs. Dès le XIIe siècle, la ville jouit d'une certaine autonomie, elle possède une coutume, des libertés et des franchises. Cette autonomie s'affirme au XIIIe siècle (la charte date de 1248) et la tutelle du roi (ou du comte) et de l'évêque est de plus en plus lâche. La ville est administrée par des consuls qui apposent sur les actes solennels le grand sceau de la cité représentant sur l'avers une ville fortifiée avec à l'intérieur un clocher et au revers un aigle. Mais l'administration consulaire n'a rien de démocratique, c'est une oligarchie qui abusa souvent de ses pouvoirs, entraînant plusieurs révoltes populaires aux siècles suivants. La ville s'est en effet notablement agrandie au cours du Moyen Âge : elle atteint désormais 60 hectares. Agen était une cité prospère et peuplée (peut-être 10 000 habitants alors que Toulouse en comptait moins de 40 000) vivant en particulier des activités liées à la Garonne : commerce, pêche, minoterie. Cependant, bien que la ville n'ait pas trop souffert directement des terribles affrontements de la guerre de Cent Ans (elle y a même gagné un peu plus d'autonomie) elle a subi les conséquences des ravages des contrées environnantes. De plus, XIVe et XVe siècles connurent la terrible épidémie de peste noire aggravée par des intempéries nombreuses et dévastatrices. La Garonne en particulier frappa par des crues meurtrières. De la fin de la guerre de Cent Ans aux premiers troubles des guerres de Religion, Agen connut une renaissance autant matérielle qu'intellectuelle. Une vague d'immigration venue du Massif central, de l'Ouest et des Pyrénées repeupla la région. En outre, le diocèse fut dirigé par cinq évêques italiens successifs dont plusieurs issus de la famille La Rovère, apparentée au pape Jules II. Ils étaient de fins lettrés, comme Matteo Bandello, auteur de nouvelles. C'est l'une d'elles, écrite probablement à Bazens, résidence des évêques d'Agen, qui inspira à Shakespeare Roméo et Juliette. Ils vinrent accompagnés de toute une suite composée de gens obscurs mais aussi très brillants comme le médecin et humaniste Jules César Scaliger, connu dans toute l'Europe, ou son fils, Joseph-Juste, acquis à la Réforme (c'est l'un des « illustres » Agenais). Agen, cité catholique (et rivale de Nérac, capitale politique et intellectuelle des Réformés), fut à plusieurs reprises occupée et pillée par les troupes protestantes durant cette période dramatique. Elle abritera quelque temps la reine Marguerite de Valois, dite reine Margot. La paix revenue, la ville connut un regain de prospérité après un Grand Siècle difficile, comme le reste du pays, en raison de conditions climatiques préjudiciables à l'agriculture, activité dont la ville était fort dépendante. Séditions populaires, pestes et famines font que le retour véritable à la prospérité n'eut lieu qu'au XVIIIe siècle, ce qu'attestent les nombreux édifices civils : hôtels particuliers des riches familles nobles ou bourgeoises enrichies dans l'activité commerçante et textile. Ce n'est qu'à la fin du siècle que fut bâti le magnifique palais épiscopal devenu par la suite siège de la préfecture. Agen est à cette époque une ville manufacturière spécialisée dans la toile à voile mais aussi les draps, cordes et tissus divers. La ville sort de plus en plus de ses remparts. Elle ne craint plus les troubles politiques mais seulement les humeurs de la Garonne. On n'hésite cependant pas à embellir les bords du fleuve en aménageant la promenade dite « du Gravier » plantée d'ormeaux (aujourd'hui amputée et défigurée par la voie sur berge et le mur qui sépare désormais la ville de son fleuve). Cet endroit accueillait les grandes foires, en particulier celle de juin où les chalands venaient de toute l'Europe. La ville dépend en effet de plus en plus de son fleuve qui exporte vers les Amériques la farine du Haut Pays que l'on échange là-bas contre du sucre. On vend aussi aux marins les prunes séchées qui durant la traversée permettent d'éviter le scorbut. Le commerce du vin était aussi très important mais gêné par le privilège des vins de Bordeaux interdisant la vente des vins de l'amont jusqu'à Noël, une partie de la production était transformée en eau-de-vie. La Révolution puis le blocus continental et les débuts de la révolution industrielle vont porter de rudes coups aux activités agenaises. Mais cet engourdissement économique que l'on constate au XIXe siècle est aussi à mettre au compte de la bourgeoisie locale, qui a perdu son dynamisme et se replie sur une rente foncière de moins en moins lucrative : le comice agricole d'Agen de 1855 cherche encore à démontrer la supériorité de la faux sur le volant ! Comme l'a écrit Peter Weissberg dans l'histoire d'Agen parue chez Privat en 1991 : « Agen n'a pas manqué sa révolution industrielle : elle ne l'a même pas tentée ». Ainsi, les atouts que constituaient le chemin de fer et le canal latéral de la Garonne, qui devait, après transformation en « canal des deux mers », selon les militaires « prendre la moitié du trafic de Gibraltar et éviter à notre flotte l'humiliation de passer sous les canons anglais », furent insuffisamment utilisés ou ne virent pas le jour. L'apport de populations venues du Massif Central, des Pyrénées et d’Espagne, compensa le très important déficit de main-d’œuvre dans une région en grave déclin démographique mais essentiellement absorbé par la construction et l’agriculture. Le XIXe siècle fut cependant celui des grandes réalisations édilitaires. Dès 1827, Agen a enfin un pont (plusieurs tentatives ont avorté, du Moyen Âge au XVIe siècle et pendant 300 ans on traversa la Garonne par le bac), doublé par la passerelle suspendue en 1839 et enfin le pont-canal, achevé en 1843, véritable chef-d'œuvre doté de 23 arches qui enjambent le fleuve et son lit majeur. C'est en 1875 que la Garonne connut sa crue la plus dramatique (elle fit 500 morts à Toulouse et 8 à Agen) mais le pont-canal avait résisté. Les véritables transformations de la trame urbaine agenaise n'eurent lieu que sous le mandat de Jean-Baptiste Durand, entre 1880 et 1895 (la ville comptait à cette époque 20 000 habitants). On perça les deux grands boulevards actuels : République et Carnot, ce dernier aboutit à la gare, nouvellement construite (le bâtiment principal est achevé en 1858 et deux ailes latérales sont ajoutées en 1886 puis détruites en 1981). Sur le tracé des anciens remparts, démantelés à la Révolution, on réalisa des boulevards de ceinture. Ces grands chantiers détruisirent cependant des témoignages du passé comme la majeure partie de l'église Sainte-Foy. C'est en 1888 qu'est inauguré le nouveau lycée Bernard-Palissy d'Agen, construit sur un tertre afin d'être à l'abri des crues. Le second lycée de la ville (lycée technique Jean-Baptiste-de-Baudre, du nom de l'ingénieur concepteur du canal latéral) occupe les murs du grand séminaire, imposante bâtisse de la fin du XVIIe siècle, construit par l'évêque Mascaron pour parfaire l'œuvre de la Contre-Réforme. C'est enfin Jean-Baptiste Durand qui fait édifier sur l'emplacement de l'ancienne cathédrale le marché couvert, dans le style des halles de Baltard, malheureusement lui aussi disparu. Fort heureusement, à l'écart de ces grands travaux subsistent encore de petites artères, rues et venelles aux maisons à colombages et en encorbellement ou vieux hôtels de pierre ou de brique. Ces constructions, dont les plus anciennes sont datées du XIVe siècle, donnent à Agen un cachet particulier que l'on retrouve dans d'autres cités de moyenne importance, à l'abri d'une trop boulimique expansion. Aujourd'hui, la ville s'est considérablement étendue, bien au-delà du noyau primitif, seul endroit à l'abri des inondations. Les travaux d'endiguement du fleuve doivent protéger le lit majeur des crues dévastatrices (le siècle a connu deux crues « centenaires » : 1930 et 1952 et la dernière inondation importante eut lieu en décembre 1981). Si la population de la ville stagne à un peu plus de 30 000 habitants, l'agglomération s'est étendue vers le sud et l'est, profitant aux communes de Bon-Encontre, Boé et Le Passage. Selon l'INSEE, l'unité urbaine compte actuellement près de 80 000 habitants (81 266 en 2015). La ville d'Agen a aussi souffert des 2 Guerres Mondiales en 1914-1918 et en 1939-1945. On peut d'ailleurs voir sur la Place de la Préfecture une œuvre monumentale : le "Monument aux morts" réalisé par le sculpteur Bacquié en marbre et bronze. Pour ce qui est de la Seconde Guerre mondiale, Agen a été occupée dès 1942 , les Allemands avaient alors encadré la caserne Toussaint puis avaient installé leur quartier général dans la ville. Mais Agen était aussi une des villes situées "à l'arrière du combat", on y a soigné de nombreux blessés de guerre, notamment dans les locaux du collège Chaumié et du lycée Palissy. Au sein d'un environnement essentiellement rural et agricole, Agen doit tirer ses richesses du secteur agro-alimentaire. C'est pour cela qu'a été créé en 1990, l'Agropole, situé à côté de l'échangeur autoroutier, sur la commune d'Estillac. Cependant, la plus grande entreprise agenaise est la firme UPSA, laboratoire pharmaceutique fondé en 1935 par le docteur Bru et rachetée par le groupe américain Bristol-Myers Squibb, qui possède deux sites sur l'agglomération (un à Agen et un au Passage). Le tissu industriel est aujourd'hui très diffus, et l'agglomération et la ville sont essentiellement tirés par le secteur tertiaire, avec en particulier le pôle universitaire (antenne de la faculté de Bordeaux et I.U.T.) et l'École nationale d'administration pénitentiaire (ENAP) créé en 2000. La ville s'est beaucoup développée notamment dans sa zone sud dans les années 1995. On y a construit, près des cressonnières et des serres des maraîchers, un lycée d'enseignement professionnel et un IUT. Puis a été proposé un projet pour créer une École d'Administration Pénitentiaire. L'architecture de l'ENAP et de l'IUT est très moderne avec notamment le "géodôme" du département "Sciences" de l'Université de Bordeaux, l'escalier en briques rouges et le parc de l'ENAP. Peu à peu, le lycée professionnel et l'université ont été entourés par une cité universitaire, une chapelle, une piscine d'été et d'hiver (Aquasud), puis des zones industrielles et artisanales (ZAC de Trenque, zone commerciale O'Green).

Politique et administration

La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008. Agen est le siège d'un évêché dont le titulaire actuel est Monseigneur Hubert Herbreteau, depuis 2005. Depuis sa fondation, au IVe siècle, le diocèse d'Agen a vu se succéder un très grand nombre d'évêques parmi lesquels : 350 - 400 : Saint Phébade, premier évêque ; 1291 - 1313 : Bertrand II de Goth ; 1487 - 1519 : Léonard de la Rovère, cardinal ; 1550 - 1555 : Mathieu Bandello ; 1679 - 1703 : Jules Mascaron ; 1735 - 1767 : Joseph de Gilbert de Chabannes ; 1767 - 1802 : Jean-Louis d'Usson de Bonnac ; 1802 - 1840 : Jean Jacoupy ; 1841 - 1867 : Jean-Aimé de Levezou de Vesins ; 1871 - 1874 : Hector-Albert Chaulet d'Outremont ; 1875 - 1885 : Jean-Émile Fonteneau ; 1885 - 1905 : Charles Ier Cœuret-Varin ; 1906 - 1937 : Charles-Paul Sagot du Vauroux ; 1938 - 1944 : René Martial Max Bonnat, ; 1944 - 1956 : ? 1956 - 1976 : Roger Johan ; 1976 - 1996 : Sabin Saint-Gaudens ; 1997 - 2005 : Jean-Charles Descubes ; 2005 - : Hubert Herbreteau.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans, En 2019, la commune comptait 32 602 habitants, en diminution de 5,07 % par rapport à 2013 (Lot-et-Garonne : −0,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %). Au recensement de 2013 et à périmètre identique à 2010, l'aire urbaine compte 112 801 habitants pour 64 communes et déborde désormais sur le Gers et le Tarn et Garonne, l'unité urbaine 81 110 habitants pour 16 communes. Les principales communes de l'unité urbaine en dehors d'Agen sont Le Passage d'Agen (9 484 habitants), Bon-Encontre (6 212 habitants), Foulayronnes (5 231 habitants), Boé (5 486 habitants) et Pont-du-Casse (4 239 habitants).

Économie

La ville est célèbre pour la culture du pruneau AOC. Située au cœur d'une importante région agricole, l'industrie agro-alimentaire occupe une place de choix dans l'économie agenaise. L'Agropole, vaste zone industrielle dédiée à la transformation des produits alimentaires, occupe sur 70 hectares plus de 100 entreprises et emploie 1 700 personnes. Elle est aussi le siège d'une grande entreprise de pharmaceutique, UPSA, filiale du groupe BMS. Cette entreprise possède deux unités de fabrication sur la communauté d'agglomération d'Agen : une sur la commune même et l'autre sur l'autre rive de la Garonne, au Passage. Elles rassemblent plus de 1 200 employés. L'entreprise de découpe de viande Bigard est également implantée sur l'agglomération. L'entreprise SATAR - PRIM@EVER, leader français du transport de fruit et légumes est aussi implantée sur l'agglomération d'Agen, au Marché d'Intérêt National (MIN). Agen est en outre le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Lot-et-Garonne.

Santé

Le centre hospitalier est composé de trois établissements qui constituent un ensemble de 700 lits et places : le centre hospitalier Saint-Esprit avec ses services de médecine, chirurgie, gynécologie-obstétrique et ses services médico-techniques ; il comporte 371 lits et 26 postes d’hémodialyse ; l’hôpital de Monbran, établissement doté de 15 lits de court séjour gériatrique, 42 lits de soins de suite et réadaptation, et de 32 lits de psychiatrie ; le centre de gérontologie de Pompeyrie, avec un secteur long séjour et une maison de retraite, d'une capacité totale de 182 lits, répartis en 146 lits d’hébergement pour personnes âgées dépendantes et 36 lits de soins de longue durée. La clinique Esquirol est fondée en 1947 par le Docteur Pierre Esquirol dans les bâtiments de l’ancien Hôtel Central, en centre-ville d'Agen. Le docteur Esquirol, fort d'importants échanges avec des praticiens étrangers, pratique des actes chirurgicaux encore inconnus en France, et exerce la chirurgie à la clinique jusqu’en 1972. Par la suite, une phase de transformation est lancée par Gérard Angotti. Les agrandissements et les rénovations sont alors menés par étapes successives et conduisirent à créer un nouvel établissement. Dans les années 1990, la clinique Esquirol s’agrandit encore à l’occasion du regroupement des activités du pôle de santé agenais. À partir de 1996, elle intègre l’activité de chimiothérapie de la clinique Calabet et une partie de l’activité de la clinique Saint-Jean. Tous les services d’hospitalisation sont modernisés au niveau de la structure et des équipements. La clinique Saint-Hilaire, fondée à Agen en 1904 dans le centre de la ville, s’installe sur le site actuel (à Agen Sud) en 1973. De nouvelles spécialités voient alors le jour. Des travaux d’extension et de restructuration sont réalisés en 1994, parallèlement au regroupement des lits et des équipes des établissements de soins d’Agen. Dès 1996, le regroupement des trois maternités privées de l’Agenais se fait sur son site. Le projet de création d’un très grand établissement regroupant toutes les cliniques privées agenaises est lancé en juin 2000. Le 7 mars 2005 est créé un nouvel établissement de 27 000 m2 par la fusion des deux cliniques. Il devient une des plus importantes cliniques d’Aquitaine avec 335 lits pour 57 200 séjours, et près de 24 400 interventions en 2015. La clinique pointe en 2013 à la 30e position des 50 meilleurs établissements privés du territoire national.

Enseignement supérieur

Airways College (anciennement Airways Formation) - École de formation de pilotes de ligne ; Départements de langues (Anglais et Espagnol) (Antenne de l'Université Bordeaux Montaigne) ; Département d'Études Juridiques d'Agen : droit, économie, AES (Antenne de l'Université de Bordeaux) ; Départements des sciences DUSA, (Département Universitaire des Sciences d'Agen) (Antenne de l'Université de Bordeaux) ; École Supérieure du Professorat et de l'Éducation d'Agen (Antenne de l'Université de Bordeaux) ; Département QLIO (Qualité, Logistique Industrielle et Organisation et D épartement GACO (Gestion Administrative et Commerciale des Organisations) (Antennes de l'Institut Universitaire de Technologie de Bordeaux) ENAP : École Nationale d'Administration Pénitentiaire ; Lycée Jean-Baptiste de Baudre notamment BTS Tertiaires et Industriels ; Lycée Bernard-Palissy BTS Communication ; Lycée Saint Caprais BTS NDRC (Négociation et digitalisation de la relation client), CG (Comptabilité et gestion) ; Sud Management (SUP IAA, École de gestion et de commerce) ; IFSI (institut de formation en soins infirmiers).

Vie militaire

Unités ayant été stationnées à Agen : 9e Régiment d'Infanterie, 1906 ; 17e Légion de Gendarmerie, 1906 ; École des Sous-Officiers d'Active des Transmissions ESOAT, jusqu'en 1993 ; 48e Régiment de Transmissions, actuellement.

Médias

Agen a participé à l'émission Jeux sans frontières en 1976 (5e sur 7 avec 31 points). France 3 Pau - Sud Aquitaine diffuse ses programmes sur Agen grâce au site TDF de Saint-Esprit. Il y a aussi un bureau permanent France 3 Agen se trouvant à l'Agropole. 87.7 47 FM : radio locale commerciale d'Agen et du Lot-et-Garonne établie en 2007. Ses studios sont à l'Agropole et diffusent aussi son programme sur Nérac (96.2 FM) et Fumel (87.6 FM) ; elle appartient au groupe toulousain Mediameeting qui détient d'autres radios locales ; 89.8 Virgin Radio Agen : déclinaison agenaise de Virgin Radio ; son programme est aussi diffusé sur Villeneuve-sur-Lot (97.8 FM) ; 93.1 Espoir FM : radio associative chrétienne agenaise ; 93.6 Radio Bulle : radio associative de l'agenais ; 98.5 RFM Lot-et-Garonne : déclinaison agenaise de RFM ; c'est le programme local toulousain qui est entendu avec des informations et publicités agenaises ; elle est aussi diffusée sur Nérac (même fréquence) et sur Villeneuve-sur-Lot (88.6 FM) ; 99.4 France Bleu Toulouse : radio locale publique ; avant 2013, le programme de France Bleu Périgord (station de Périgueux) était diffusé sur cette fréquence ; 100.3 Nova Bordeaux (ex-Radio Sauvagine) : déclinaison bordelaise de Radio Nova implantée sur Agen en 2007 ; Le grand quotidien régional Sud Ouest possède une rédaction locale sur Agen ; Le Petit Bleu d'Agen.

Jumelages

Dinslaken (Allemagne) depuis le 23 mars 1975 ; Llanelli (Royaume-Uni) depuis le 1er juillet 1989 ; Tolède (Espagne) depuis le 22 juin 1973 ; Nishinomiya (Japon) depuis Avril 1992 ; Corpus Christi (États-Unis) depuis le 1er janvier 1996 ;

Sports

En mai 1896, Agen est choisi comme destination d'une des premières courses automobiles de l'histoire, le Bordeaux–Agen–Bordeaux. Gaston Bousquet s'impose sur une Peugeot. Le Sporting Union agenais omnisports est le grand club omnisports de la ville. Le SUA comprend notamment une section de rugby à XV, le Sporting union Agen Lot-et-Garonne, dont l'équipe fanion évolue en Top 14 pour la saison 2017/2018 et compte 8 titres de champion de France de première division (1930, 1945, 1962, 1965, 1966, 1976, 1982 et 1988) et un titre de Pro D2 (2010). Les rugbymen utilisent le stade Alfred-Armandie (14 000 places). Ayant gagné la finale d'accession lors de la saison 2016-2017 contre l'Union sportive montalbanaise, le SUA XV est revenu en Top 14 pour la saison 2017-2018. La section football du SUA (Sporting Union Agen Football) est plus modeste. Elle évolue cette saison en Division honneur. Les courses hippiques se tiennent sur l'hippodrome de la Garenne. Au Stadium d'Agen, le Full contact Agen compte environ 130 licenciés. Le club, entraîné par William Varnier, pratique le full contact, le kickboxing, le muay thai et le K-1. Ce club a eu de nombreux champions emblématiques, comme William Saidi (champion de France, d'Europe et du Monde amateur, puis champion de France et d'Europe professionnel), Adeline Varnier (10 fois championne de France), Mouim Issilahy (champion d'Europe professionnel en muay thaï), ainsi que de grands espoirs, comme Medhy Aissa (4 fois champion d'Europe semi-professionnel). De plus, Agen possède l'un des plus grands clubs de kayak-polo d'Europe (Canoë-Kayak Club Agenais) dont plusieurs joueurs sont des joueurs classés haut niveau sur les listes nationales : Thibaud Chanuc, Manuel Courtin, Anthony Courtin, Martin Brodoux, Thibault Salbaing.

Culture locale et patrimoine

Si Agen a été, sous l'Ancien Régime, une ville riche de monuments architecturaux, certains de ses monuments ont été démolis sous la Révolution et les municipalités successives. La Réserve naturelle nationale de la frayère d'Alose se trouve en partie sur le territoire d'Agen. Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune. Saint Vincent, dit Vincent d'Agen (IIIe siècle), diacre chrétien et mort martyr sous Dioclétien. Alfred Armandie (1884-1915), dentiste et fondateur du club de rugby sporting union agenais. Alain Aspect (né le 15/06/1947) à Agen, physicien. Jacques Augarde (1908-2006), homme politique. Joseph Barsalou (1600-1660), médecin et alchimiste, exerça à Agen. Adèle de Batz de Trenquelléon (1789-1828), née à Feugarolles, fondatrice à Agen, en 1816, de la congrégation des Filles de Marie Immaculée. Abdelatif Benazzi (né le 20/08/1968) à Oujda au Maroc, international de rugby au poste de deuxième et troisième ligne, il a été capitaine de l'équipe de France. Gaston Cabannes (1882-1950), homme politique. Francis Cabrel (né le 23/11/1953), auteur compositeur interprète. Jean Cadéac d'Arbaud (1927-2003), Officier de la Marine Nationale, Compagnon de la Libération Henri Caillavet (1914-2013), homme politique. Bernard Campan (né à Agen le 4/4/1958), acteur, humoriste, réalisateur et scénariste, membre du trio Les Inconnus. Jean-Baptiste Alexandre Damase de Chaudordy (1826-1899), diplomate français et député de Lot-et-Garonne en 1871. Joseph Chaumié (1849-1919), homme politique. Pierre Chaumié (1880-1966), homme politique. Luigi Comencini (1916 - 2007) réalisateur italien. Au début des années 1920, ses parents émigrés, quittent les rives du lac de Garde pour le Lot-et-Garonne où ils s'installent à Colayrac-Saint-Cirq. Luigi passera une partie de sa scolarité au lycée Bernard Palissy d'Agen. Raymond Contrastin (1925-1985), joueur international de Rugby à XIII. Gabriel Coquelin (1907-1996), sculpteur et peintre. Jean-Bernard Cunin (né le 08/04/1954), homme d'affaires et navigateur. Philippe Dauzon (1860-1918), député d'Agen (1893-1910) et président du conseil général de Lot-et-Garonne (1899-1913). Scali Delpeyrat (né à Agen en 1966) Acteur, auteur et metteur en scène. Jean-Bernard Descomps (1872-1948), peintre et sculpteur français. Daniel Dubroca (né le 25/04/1954), international de rugby au poste de pilier et surtout talonneur, capitaine de l'équipe de France puis entraîneur du XV de France. Louis Ducos du Hauron (1838-1920), inventeur de la photographie couleur. Brice Dulin (né le 13/04/1990 à Agen), joueur de rugby, formé au SUA, évoluant actuellement au Racing 92 au poste de numéro 15. Jean-Baptiste Dumon (1820-1900), homme politique né à Agen. Pierre Duprat (né le 26 novembre 1989), International de Judo. Godefroi, comte d'Estrades (1607-1686), né à Agen, diplomate français et maréchal de France, maire perpétuel de Bordeaux, vice-roi de la Nouvelle-France. Armand Fallières (1841-1931), né à Villeneuve-de-Mézin à quelques kilomètres d'Agen, y étudia. Michel Fau (né à Agen en 1964 ) acteur et metteur en scène. Christian Fechner (1944-2008), réalisateur, scénariste et producteur. Jean-Guy Fechner (né le 2 mars 1947), acteur et producteur. Albert Ferrasse (1917-2011), joueur de rugby au poste de deuxième ligne, président du SUA de 1965 à 1985, président de la Fédération française de rugby et de l'International Rugby Board. Jacques Fort (né le 16 janvier 1938), international de rugby au poste de deuxième ligne et capitaine de l'équipe de France. Jean François-Poncet (1928-2012), homme politique, ministre, président du conseil général de Lot-et-Garonne. Jasmin (1798-1864), poète et conteur de langue occitane. Bernard Germain de Lacépède (1756-1825), zoologiste et homme politique. François-Xavier Lalanne (1927-2008), sculpteur. Aymeric Laporte (né le 27 mai 1994), joueur de football (Manchester City et Équipe de France moins de 19 ans). Ferdinand Laulanié (1850-1906), chimiste. Marcel-Frédéric Lubin-Lebrère (1891-1972), rugbyman international éborgné durant la première guerre mondiale. Eloïse Lièvre (née le 10/01/1974-), écrivaine Jean-Claude Malbet (né le 28 août 1937), international de rugby au poste de talonneur. Maurin d'Agen (VIe s.), saint catholique Jean-Baptiste Pierre Menne (1774-1839), général des armées de la République et de l'Empire. Montesquieu (1689-1755), passa son enfance à Agen, dans l'hôtel particulier qui porte son nom. Christian Noël (1945-), escrimeur, champion olympique, né à Agen. Michel de Nostre Dame dit Nostradamus vécut à Agen de 1533 à 1534. Bernard Palissy (né vers 1510 à Agen et mort à Paris en 1589 ou 1590), céramiste, verrier, écrivain, savant. Candice Pascal (née le 2/12/1984), danseuse. Saint Phébade (IVe siècle), premier évêque certain. Georgette Plana, (1917-2013) chanteuse. Joseph Poncet (1791-1866), ancien député de Vaucluse. Victor Rabu (1834-1907), architecte en Uruguay. Fanny Riberot (1983-), coureuse cycliste française. Stéphane Rideau (né le 25/07/1976), acteur. Stéphan Rizon (né le 24/02/1987), chanteur, gagnant de The Voice France en mai 2012. Antoine Rigau (1758-1820), général d'Empire, y est né. René Rodes (1896-1971), peintre né à Agen. Pauline Roland, illustratrice et dessinée de bande dessinée née en 1987. Joseph-Barnabé Saint-Sevin dit L'Abbé le Fils (1727-1803), violoniste, compositeur. Joseph Juste Scaliger (1540-1609), érudit du XVIIe siècle. Jules César Scaliger (1484-1558), philosophe italien, décédé à Agen. Philippe Sella (né le 14 février 1962), international de rugby au poste de trois quarts, capitaine de l'équipe de France, recordman mondial des sélections en équipe nationale (111). André Selsis (1913-1996), Juste parmi les nations,,,,. Simone Selsis (1920-2012), Juste parmi les nations,,,. Michel Serres (1930-2019), philosophe et académicien. Jean-Baptiste Cyrus de Timbrune de Thiembronne (1757-1822), comte de Valence, général de la Révolution française, y est né. François Tosquelles (1912-1994), médecin psychiatre, chef de l'hôpital psychiatrique « La Candelie » d'Agen. Francesco Zani (né le 24 octobre 1938 à Iseo), international de rugby italien au poste de troisième ligne. Ce blason n'illustre pas le timbre poste de 12c émis le 16 mai 1964 (Armoiries de villes, 4e série 1962-65).

Pour approfondir

Beaumont Stéphane, Histoire d'Agen, éd. Privat 1991 Dubernard Jean, Album du vieil Agen, Éditions CTR, Agen, 1983 Antoine Du Bourg, « Sainte-Quitterie d'Agen », dans Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France, Toulouse, Louis Sistac et Joseph Boubée éditeurs-libraires, 1883 (lire en ligne), p. 342-344 Lauzun Philippe, Souvenirs du vieil Agen, 1913 Molinié Jean-Louis, Agen, 25 siècles d'histoire, bulletin du Cercle héraldique généalogique de Lot-et-Garonne, 1995 Riotte Jean, Agen d'hier et d'aujourd'hui, IC, Agen, 1964 Soulage André, Les rues d'Agen racontent leur histoire, Société académique d'Agen, 1973 Georges Tholin, La ville d'Agen pendant les guerres de religion du XVIe siècle, p. 97-113, 201-217, 430-450, 489-515, Revue de l'Agenais, 1887, tome 14 (lire en ligne) Georges Tholin, La ville d'Agen pendant les guerres de religion du XVIe siècle, p. 193-218, 322-348, 409-434, Revue de l'Agenais, 1888, tome 15 (lire en ligne) Georges Tholin, La ville d'Agen pendant les guerres de religion du XVIe siècle, p. 27-43, 197-222, 385-398, Revue de l'Agenais, 1889, tome 16 (lire en ligne) Georges Tholin, La ville d'Agen pendant les guerres de religion du XVIe siècle, p. 97-120, 281-301, 488-510, Revue de l'Agenais, 1890, tome 17 (lire en ligne) Georges Tholin, La ville d'Agen pendant les guerres de religion du XVIe siècle, p. 57-70, 225-241, Revue de l'Agenais, 1891, tome 18 (lire en ligne) Georges Tholin, La ville d'Agen pendant les guerres de religion du XVIe siècle, p. 22-39, 118-133, Revue de l'Agenais, 1892, tome 19 (lire en ligne) Georges Tholin, La ville d'Agen pendant les guerres de religion du XVIe siècle, p. 52-67, 177-200, Revue de l'Agenais, 1893, tome 20 (lire en ligne) Georges Tholin, Documents pour servir à l'histoire des guerres de religion dans l'Agenais, p. 41-57, Revue de l'Agenais, 1882 tome 9 (lire en ligne) Adolphe Magen, Georges Tholin, La place de la halle à Agen, édifices qui ont existé sur son emplacement. Cloche de l'ancienne horloge, p. 80-92, Revue de l'Agenais, 1882, tome 9 (lire en ligne) Georges Tholin, Les anciens Hôtels de ville et le local du Musée d'Agen, p. 177-194, Revue de l'Agenais, 1878, tome 5 (lire en ligne) F. Habasque, La Cour de France à Agen (1564-1565), p. 195-220, Revue de l'Agenais, 1878, tome 5 (lire en ligne) Joseph Labrunie, Les ponts sur la Garonne. 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(ISBN 2-7324-2260-6) Aéroport d'Agen la Garenne Lycée Palissy d'Agen Lycée Jean-Baptiste-de-Baudre Liste des évêques d'Agen Lignes de bus d'Agen Tragédie de Saint-Pierre-de-Clairac Agenais (région) Armorial des communes de Lot-et-Garonne Ressources relatives aux organisations : SIREN Data.gouv.fr Ressources relatives à la géographie : Insee (communes) Ldh/EHESS/Cassini Site de la mairie Livre des coutumes de la ville d'Agen (vers 1350) numérisé Agen et Passeligne, vers un développement durable