La société du jour: Mwkf2 la place

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Mwkf2 la place

La société Mwkf2 la place a été créée le 19/12/2018, soit 4 années d'activités. Le siège de la société est basé à SAINT-JEAN-DU-GARD 30270. Elle possède un seul établissement. Le gérant de la société est Michel WEIMA. Elle a un capital social de 500 €. Son dernier bilan date du 9/7/2020. Mwkf2 la place a choisi le statut juridique SAS, société par actions simplifiée. Elle opère sous le code NAF 00.00Z et évolue dans le secteur .

SAS, société par actions simplifiée, c'est quoi ?

Sigle

Le sigle ou acronyme SAS peut signifier :

Culture et société

Un sas (du latin médiéval s(a)etatium, « tamis », utilisé dans le sens de « destiné à trier le passage ») est un dispositif qui permet de passer d'un lieu à un autre, d'un environnement à un autre.

Patronyme

Sas est un nom de famille notamment porté par : Éva Sas, une personnalité politique française ; Jean Sas, un humoriste et animateur de radio et de télévision français.

Toponyme

Sas, Šas ou Saš est un nom de lieu notamment porté par : Šas, un village de la municipalité d'Ulcinj, dans le sud-est du Monténégro ; Saš, un village de la municipalité de Tutin, en Serbie ; Sas de Gand, une petite ville de Zélande, aux Pays-Bas.

Les établissements de Mwkf2 la place

L'établissement principal est domicilié au ld arbousse, Saint-jean-du-gard 30270. La société possède aucun autre établissement. 0 établissement(s) ont été fermé depuis la création de la société.

Les concurrents

À Saint-jean-du-gard 30270, il y a 0 autre entreprise qui a la même activité.

Qu'est ce qu'il y a savoir sur Saint-jean-du-gard ?

Saint-Jean-du-Gard est une commune des Cévennes méridionales, située dans le département du Gard, en région Occitanie. Elle est considérée comme la « Perle des Cévennes, ». Ses habitants sont appelés les Saint-Jeannais. Le patrimoine architectural de la commune comprend quatre immeubles protégés au titre des monuments historiques : le pont sur le Gardon, inscrit en 1950, l'église Saint-Jean-Baptiste, inscrite en 1963, le filature maison Rouge, inscrit en 2003, et le monument aux morts, inscrite en 2018.

Géographie

La commune est située dans le nord-ouest du département du Gard. Elle est limitrophe de la Lozère. Saint-Jean-du-Gard est situé au pied de la corniche des Cévennes, dans le Gard non loin d'Alès et de Nîmes, traversé par le Gardon de Saint Jean. Située au croisement de la Vallée Borgne et de la Vallée française, la commune a une superficie de 4 164 hectares pour une population de 2 696 habitants en 2012. La population peut largement dépasser les 10 000 habitants l'été. les Fournels Falguières Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents. Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant. Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat complétée par des études régionales prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1989 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Urbanisme

Saint-Jean-du-Gard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Jean-du-Gard, une unité urbaine monocommunale de 2 433 habitants en 2017, constituant une ville isolée,. La commune est en outre hors attraction des villes,. L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (80,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), zones urbanisées (3,9 %), prairies (3 %). L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui).

Toponymie

Histoire

Bien que Saint-Jean-du-Gard ait gardé des traces de vie datant du néolithique, comme en témoignent de nombreux dolmens et autres grottes, l'histoire de cette commune commença réellement au XIIe siècle avec la création d'un monastère par les Bénédictins de Saint-Gilles. La première mention de Saint-Jean-du-Gard fut inscrite dans une bulle papale (San Johannis de Gardonnenca cum villa) au début du XIIe siècle. Tout d'abord dénommée Saint-Jean-de-Gardonnenque, la commune fut très influencée par le protestantisme au XVIe siècle et fut un haut lieu de résistance des Camisards dès 1685, après la révocation de l'édit de Nantes - ce qui en fait la première révolution civile de l'histoire. Le roi fait élever dès 1703 des fortifications de plus de cinq mètres de hauteur pour empêcher les camisards de communiquer avec la population. On peut voir, aujourd'hui encore, l'ancien tronçon dans la rue des Paillons qui était bordée d'une fortification sur la place Rabaut-Saint-Étienne, face à la rue de Combe d'Ase. Trois grandes portes d'entrée étaient alors érigées ; des vestiges de l'une de ces portes sont encore visibles sur la façade du château de Saint-Jean-du-Gard. Cette résistance dura pratiquement 3 ans, opposant 5 000 camisards à 35 000 dragons de l'armée royale. Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Brion-du-Gard. La ville connut une grande période de prospérité à partir du XIXe siècle jusqu'au milieu du XXe siècle grâce à l'élevage du ver à soie et la culture du mûrier dont les feuilles permettent de nourrir ce dernier. Au plus fort de cette période la ville ne comptait pas moins de 21 filatures, dont la plus connue reste la filature Maison Rouge. La Maison Rouge ferma en 1965, une cessation d'activité coïncidant avec la fin de cette période de prospérité pour la commune. À la fin des années 1960, la « vallée des Camisards » où coule le Gardon de Mialet a failli être submergée au lieu-dit La Borie, 3 km en amont de la ville par le « projet de barrage de Saint-Jean-du-Gard » (aménagement écrêteur de crue, d'une hauteur prévue de 60 m, proposé dans le cadre du Plan de défense contre les inondations du Languedoc établi par le service des ponts et chaussées du Gard). Ce projet a été abandonné à la suite d'une forte mobilisation de la population qui y était opposée (mobilisation étudiée par Françoise Clavairolle (2008) qui a dans ce cas repéré quatre types d'argumentaires : écologiques (modifications des températures et taux d'oxygène de l’eau, fragmentation écologique mettant en péril les migrations et les habitats des poissons, menaces pour une biodiversité en partie rare et fragile (castor commun, héron cendré, orchidées et cyclamens), socio-économiques, techniques et symboliques) La ville de Saint-Jean-du-Gard vit maintenant en grande partie du tourisme. Un train à vapeur parcourt notamment la ligne d' Anduze à Saint-Jean-du-Gard, avec un arrêt à la Bambouseraie, train qui attire chaque année près de 150 000 voyageurs.

Politique et administration

Saint-Jean-du-Gard a rejoint la Communauté d'agglomération du Grand Alès en septembre 2001.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007. En 2019, la commune comptait 2 437 habitants, en diminution de 9,94 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

Vie pratique

En 2008, le taux de chômage dans la population active (15-64 ans) est de 9,8 % pour un taux d'activité de 65,6 %. En 1999, le taux de chômage dans la population active était de 20,3 % pour un taux d'activité de 67,8 % (source Insee). La ville fait de grands efforts pour rééquilibrer l'emploi et l'économie locale, notamment avec le tourisme qui est une valeur sûre, mais aussi en invitant de nouvelles entreprises dans le but de provoquer un renouveau où existait jadis une puissante économie industrielle, centrée sur la soie, qui fut sinistrée dans les années 1970 et 1980. Saint-Jean-du-Gard accueil près de 60 associations dont l'Ensemble vocal des Cévennes et l'ADMR. un cinéma une médiathèque une grande salle polyvalente (Espace Paulhan, Capacité environ 1100 places + terrasse 350 m2) Deux salles polyvalentes d'une capacité de 60 places. une crèche halte-garderie (inaugurée en 2012) une école maternelle une école primaire construite en 2007 aux normes environnementales le collège Marceau-Lapierre le Lycée professionnel d'hôtellerie Marie-Curie (restructuré et agrandi en 2012) La Résidence Soubeiran : Établissement d'Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (EHPAD), en face de la gare. L'Oustal : un centre social et socioculturel associatif proposant des activités pour les enfants, les adolescents et les adultes. Maison de Santé (inaugurée en 2016). Centre Médico-Social dans le centre-ville. L'association « Le Merlet » : créée en 1981, simple club de canoë-kayak devenu une structure accueillant plus de 600 enfants et proposant des séjours originaux sur des thèmes faisant le lien entre les activités de pleine nature et le milieu naturel, humain. Depuis 2000, l'association propose des formations professionnelles dans les métiers de l'animation nature (accompagnateur en montagne, moniteur de canoë-kayak, de nage, de randonnée aquatique). L'association « À vous de jouer » : ludothèque. Un jardin collectif.

Économie

En 2018 (données Insee publiées en septembre 2021), la commune compte 1 213 ménages fiscaux, regroupant 2 388 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 320 € (20 020 € dans le département). 32 % des ménages fiscaux sont imposés (43,9 % dans le département). En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 410 personnes, parmi lesquelles on compte 69,7 % d'actifs (53,3 % ayant un emploi et 16,4 % de chômeurs) et 30,3 % d'inactifs,. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui du département en 2008. La commune est hors attraction des villes,. Elle compte 786 emplois en 2018, contre 972 en 2013 et 904 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 766, soit un indicateur de concentration d'emploi de 102,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,8 %. Sur ces 766 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 454 travaillent dans la commune, soit 59 % des habitants. Pour se rendre au travail, 74 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,2 % les transports en commun, 14,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile). La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage. Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 50 lors du recensement agricole de 1988 à 30 en 2000 puis à 28 en 2010 et enfin à 25 en 2020, soit une baisse de 50 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations,. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 555 ha en 1988 à 262 ha en 2020. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 11 à 10 ha.

Culture locale et patrimoine

Le pont Vieux MH : Il s'agît d'un pont en pierre du XVIIIe siècle sur le Gardon. Sa partie centrale a été emportée par la célèbre crue de 1958 mais il a été restauré dans le respect de son aspect originel. Effectivement avant 1958, ce pont avait subi quelques modifications (classé au patrimoine). La Tour de l'horloge MH : Cette tour se situe sur la place du marché, elle date du XIIe siècle et elle est classée au patrimoine). C'est le dernier vestige de l'église romane construite par les bénédictins de Saint-Gilles au XIIe siècle et consacrée à Saint Jean-Baptiste. Elle fut détruite pendant les guerres de religions, en représailles au sac de la ville commis par les troupes royales en 1560. Son campanile en fer forgé abrite une cloche datant de 1520. Monument aux morts MH : cette statue a été érigée par souscription publique et inaugurée le 17 septembre 1922. Une citation de Victor Hugo est inscrite « Gloire à notre France éternelle Gloire à ceux qui sont morts pour elle ». Cette statue rend hommage aux militaires français morts pendant la, 1re et 2e Guerre mondiale ainsi qu'aux mort de la guerre d'Indochine (1946-1954) et aux morts pour la France lors de la guerre d'Algérie et des combats de Tunisie et du Maroc (1952-1962). Elle est inscrite aux monuments historiques en 2018. La Filature Maison Rouge MH : dernière filature de France, fermée en 1964. Une relance de l'activité fut tentée dans les années 1980, timide reprise sans succès. Aujourd'hui la Filature est classée au patrimoine ainsi que le parc avec la tour éolienne et le salon de thé. (Projet de restauration de l'édifice pour y installer le nouveau musée) L'église Saint-Jean-Baptiste de Saint-Jean-du-Gard construite au XVIIe siècle avec les pierres du Temple protestant démoli sous l'ordre du Roi. Maison du chevalier d'Algues. Le Temple protestant de Saint-Jean-du-Gard. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2019. Temple inauguré en 1827 à l'architecture néo-classique. Éléments remarquables : son orgue et la charpente en demi-lune supportant le plafond à la Française. L'hôtel de Ville : Faisant angle avec la Grand'Rue, c'est l'Hôtel de Ville avec sur la porte d'entrée les armoiries de la ville surmontées de la devise : « Al sourel de la liberta » (« Au soleil de la liberté »). Château de Cabrières : XVIIe siècle, reconstruit au XVIIIe siècle ; orangerie XIXe siècle (hôtellerie). Château du Maylet. Château de Marcassargues : XVIe siècle, restauré : quadrilatère flanqué de 4 tours d'angle circulaires, cour intérieure, fenêtres à meneaux. Château de Sueilhes : d'origine XIIIe siècle : tour d'angle, échauguettes. Ruines du Calcadis, ancien poste de défense. Vestiges d'un oppidum sur la colline de Sueilhes. (un oppidum est la première forme de grande agglomération qui apparurent au IVe siècle av. J.-C. en Gaule). Château de Saint-Jean-du-Gard : reconstruit au XVIe siècle, puis agrandi au XVIIe siècle, ce château a accueilli de nombreux seigneurs et ducs, tel que le maréchal de Thoiras. Le moulin des Olivettes : ce moulin à huile d'olive date de 1952, mais était initialement installé à Anduze. Abandonné après une période de gel en 1956, il a été remonté à Saint-Jean-du-Gard en 1985 par Henri Geoffray.. Train à vapeur des Cévennes : il s'agît d'un train touristique exploité depuis 1986 qui transporte des voyageurs de Saint-Jean-du-Gard à Anduze en faisant une halte à la bambouseraie de Prafrance. Plus de 150 kilomètres de chemins de randonnées dont le chemin de Stevenson (GR70), ou l'ascension du col Saint-Pierre avec son magnifique panorama. Maison rouge, Musée des vallées cévenoles : un musée qui présente la culture et les paysages des Cévennes. Entre autres, les vers à soie, les châtaignes et les pélardons y sont présentés sur près de 3 600 m2. Musée du Désert : à 10 minutes de Saint-Jean-du-Gard, musée retraçant l'histoire des guerres de religions qui ont marqué les Cévennes entre le XVIIe et XVIIIe siècle. Grotte de Trabuc : à 10 minutes de Saint-Jean-du-Gard, grotte remarquable connue entre autres pour la salle des "cent mille soldats". Bambouseraie de Prafrance : à 10 minutes de Saint-Jean-du-Gard : jardin botanique remarquable unique en Europe, est accessible via le train à vapeur des Cévennes. Mardi : Le grand marché traditionnel (toute l'année). Jeudi : Le marché artisanal nocturne 19 h - 23 h 30 (juillet et août). Vendredi : La brocante toute la journée devant la tour de l'horloge (mai à septembre). Samedi : Le marché paysan avec les produits locaux (de Pâques à la Toussaint). Festival ciném'ados : Festival proposant de nombreux films pendant 3 jours au cinéma en mars. Association Abraham Mazel : Journées-rencontres du film documentaire luttes et résistances « 1er week-end d'avril ». Boulegan à l'ostal : Festival de musiques traditionnelles et populaires, à Pâques. Festival de musiques Nomadidge : Festival de Didgeridoo, musiques australiennes, et des îles du pacifique (Concerts et Salon) premier week-end de Juillet. Association Abraham Mazel : Rencontres universitaires d'été « 1er week-end de juillet ». Festival de Théâtre : un festival proposant de nombreuses représentations dans le village ou sur scène. Il a lieu chaque année aux alentours du 1er août. Journées du patrimoine : le château, le musée sont gratuits, et la filature Maison rouge est ouverte à la visite gratuitement. Festibal : Festival proposant de nombreux bals pour le premier week-end des vacances de la Toussaint et aux vacances d'hiver. Saint Jean des Arts : Marché-Exposition d'Art Contemporain tous les jeudis de 16 h à minuit du 14 juillet au 15 août dans les ruelles du vieux Saint-Jean. Juillet : Fête du chien, Salon Animalier. Juillet : Salon des voitures anciennes et bourse de pièces détachées. Novembre : Les Journées de l'Arbre, de la Plante et du Fruit. Décembre : Marché de noël des artisans d'art (60 exposants sur 1000m²). Février : Course de côte régionale du Pont des Abarines. Avril : Course de côte internationale du col Saint-Pierre (Championnat d'Europe). Mai : FIRA de printemps, festival de la randonnée en Cévennes. Juillet : Grand Trail Stevenson ; 3 jours de course à pied sur le chemin de Stevenson. Septembre : Rallye régional des Camisards. Octobre : FIRA d'Automne, festival de la randonnée en Cévennes. Novembre : Cross de la saucisse, étape du challenge Pujazon. Le 13 et 14 juillet : le 13 juillet, pique-nique paysan, retraite aux flambeaux et le soir bal ; le 14 juillet défilé de chars, grand concert gratuit et feu d'artifice. Premier week-end d'août : Fête votive, bal tous les soirs, défilé de chars, feux d'artifice et bien sûr manèges tout au long de la fête.

Jumelages

Chaumont-Gistoux (Belgique)

Voir aussi

Liste des communes du Gard Anduze Alès Thoiras Ressources relatives à la géographie : Insee (communes) Ldh/EHESS/Cassini Ressource relative aux organisations : SIREN Site officiel de la mairie Saint-Jean-du-Gard sur le site de l'Institut géographique national saint-jean-du-gard.com visite guidée, un peu d'histoire