La société du jour: Etxeterra

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Etxeterra

La société Etxeterra a été créée le 15/4/2019, soit 3 années d'activités. Le siège de la société est basé à SAINT PAUL D'ESPIS 82400. Elle possède un seul établissement. Le gérant de la société est Magali REY. Elle a un capital social de 1000 €. Son dernier bilan date du 17/4/2019. Etxeterra a choisi le statut juridique SAS, société par actions simplifiée. Elle opère sous le code NAF 47.81Z et évolue dans le secteur .

SAS, société par actions simplifiée, c'est quoi ?

Sigle

Le sigle ou acronyme SAS peut signifier :

Culture et société

Un sas (du latin médiéval s(a)etatium, « tamis », utilisé dans le sens de « destiné à trier le passage ») est un dispositif qui permet de passer d'un lieu à un autre, d'un environnement à un autre.

Patronyme

Sas est un nom de famille notamment porté par : Éva Sas, une personnalité politique française ; Jean Sas, un humoriste et animateur de radio et de télévision français.

Toponyme

Sas, Šas ou Saš est un nom de lieu notamment porté par : Šas, un village de la municipalité d'Ulcinj, dans le sud-est du Monténégro ; Saš, un village de la municipalité de Tutin, en Serbie ; Sas de Gand, une petite ville de Zélande, aux Pays-Bas.

47.81Z -

Le code APE - NAF 4781Z est unique et implique des droits et obligations spécifiques. A ce jour, 36580 sociétés sont immatriculées sous ce code qui concerne 10791 salariés, essentiellement des vendeurs sur marché.

Nous avons épluché l'ensemble des textes de loi pour que vous sachiez tout sur le code APE - NAF 4781Z : obligations, organismes de formations, conventions collectives applicables et assurances obligatoires.

La définition précise de l'activité du code APE ou NAF 4781Z est : "Commerce de détail alimentaire sur éventaires et marchés".Lors de la création d'une société, le centre des formalités des entreprises recueille des informations sur votre société, qui seront transmises à l'INSEE. C'est cet organe de classification qui vous attribuera un des 732 codes présents dans les branches professionnelles en France. Même s'il n'y a pas de liste de métiers définie pour l'activité Commerce de détail alimentaire sur éventaires et marchés, les salariés de cette branche sont essentiellement des vendeurs sur marché.

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La convention collective nationale (CCN) applicable est choisie par l'employeur en fonction de l'activité principale de l'entreprise. Un même code NAF peut regrouper plusieurs conventions, donc cet identifiant n'est pas toujours suffisant pour déterminer la convention collective applicable.

L'Identifiant de la Convention Collective (IDCC) d'une société est défini par le Ministère du travail, et permet de numéroter l'ensemble des conventions collectives applicables (il y en plus de 1000).

Ce sont les conventions collectives et les accords branche qui vont déterminer les principaux droits et devoirs du salarié : grille de salaire, préavis en cas de démission, congés payés, période d'essai, horaire de travail, couverture et prix de la mutuelle entreprise.

Le code APE n'est pas vraiment utile pour un chef d'entreprise car il n'a pas de valeur juridique et sert surtout pour les statistiques de l'INSEE. Cependant, il peut être utile pour savoir vers quelle convention collective se tourner. Par ailleurs, dans le cas d'appels d'offres par exemple, les prestataires sont parfois écartés si leur code APE ne correspond pas à celui exigé par le client final

Si vous exercez plusieurs activités, le code NAF doit être celui de l'activité principale. Si le code NAF qui vous a été attribuée par l'INSEE n'est pas correct, vous pouvez envoyer un courrier de réclamation en y joignant ce formulaire de modification de code NAF 4781Z. Si votre activité a changé, vous pouvez contacter votre CFE.

Si vous êtes une société en création et que vous ne savez pas quel code NAF vous sera attribuée ou si vous n'êtes pas certain d'être bien enregistré; nous vous recommandons d'identifier une société qui a une activité similaire et regarder sous quel code NAF elle est enregistrée.

L'INSEE vous délivrera votre code d’activité en fonction de l'activité principale de votre entreprise. Vous retrouverez ensuite ce numéro sur :

Si vous démarrez l'activité de "Commerce de détail alimentaire sur éventaires et marchés", vous devez choisir la forme juridique de votre société parmi de nombreuses possibilités.

Vous devrez également définir un objet social et faire les démarches auprès de votre CFE pour obtenir un numéro de SIREN.

L'activité 4781Z est une activité commerciale ou artisanale, par conséquent le régime est celui des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et non la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC), avec les conséquences suivantes :

Les centres de formalités des entreprises (CFE) sont des guichets uniques permettant aux entreprises de souscrire en un même lieu à l'ensemble des formalités nécessaires au démarrage de leur activité.

L'entreprise sera rattachée à l'activité artisanale si l'entreprise compte moins de 10 salariés et commerciale si l'entreprise compte 10 salariés et plus. Par ailleurs, les artisans-commerçants et les artisans qui créent une société commerciale doivent être inscrits simultanément au Registre du commerce et des sociétés et au Répertoire des métiers. 

Les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) ont été remplacés par les opérateurs de compétences (OPCO) le 1er avril 2019. Les OPCO sont donc désormais les organismes chargés de collecter les fonds de la formation continue professionnelle et de financer la formation des salariés.

Ci-après les OPCO pour les organismes de formation relevant de l'activité Commerce de détail alimentaire sur éventaires et marchés :

En 2019 et 2020, les entreprises devaient verser à un Opérateur de compétence (OPCO) la taxe d’apprentissage due à une date fixée par décret. Depuis début 2021, la contribution est faite via l’URSSAF sur le même modèle que les cotisations de la sécurité sociale.

En tant que micro-entrepreneur de l’activité “Commerce de détail alimentaire sur éventaires et marchés”, les mêmes règles s’appliquent pour vous que les autres types de société. Vous avez obligatoirement un code NAF qui vous a été attribué en même temps que votre SIREN et vous avez la possibilité de le changer si il ne correspond plus à votre activité.

En revanche, la convention collective ne s’applique pas pour vous puisque vous êtes travailleur non salarié.

Les établissements de Etxeterra

L'établissement principal est domicilié au 670 che de moureau, Saint paul d'espis 82400. La société possède aucun autre établissement. 0 établissement(s) ont été fermé depuis la création de la société.

Les concurrents

À Saint paul d'espis 82400, il y a 0 autre entreprise qui a la même activité.

Qu'est ce qu'il y a savoir sur Saint ?

Les saints sont des personnes distinguées par différentes religions pour leur élévation spirituelle et proposés aux croyants comme modèles de vie en raison d'un trait de personnalité ou d'un comportement réputé exemplaire. Certains de ces saints portent le qualificatif de « martyrs » (« témoins »), lorsqu'ils ont payé de leur vie leur attachement à leur foi. L'influence d'un saint dépasse parfois l'espace de sa religion propre, quand son rayonnement moral apparaît comme universel. La vénération d'un saint constitue un témoignage de respect.

Définitions et catégories

Les saints chrétiens font l'objet d'une fête inscrite dans le calendrier liturgique d'une Église. Parmi les saints chrétiens on distingue : 1. Les saints catholiques et orthodoxesIls ont été vénérés et canonisés par un évêque sur le lieu de leur martyre ou de leur tombeau. 2. Les saints catholiquesIls ont été canonisés par le pape de Rome à partir du XIe siècle. 3. Les saints orthodoxesIls ont été canonisés par l'évêque du lieu de leur tombeau puis par le saint synode d'une Église orthodoxe chalcédonienne autocéphale. 4. Les saints propres aux Églises non chalcédoniennesIl existe une certaine ligne de séparation entre les religions partisanes du culte unique de Dieu (juifs, protestants, musulmans) et celles qui pratiquent des cultes des saints (catholiques et orthodoxes), parfois décrits comme une métamorphose du polythéisme antique. La fin de l'Antiquité européenne voit en effet l'avènement du christianisme, religion monothéiste. La religion populaire restant empreinte de polythéisme, les autorités religieuses intègrent cette croyance en autorisant le culte local, voire régional, de saints protecteurs.

Judaïsme

Dans le judaïsme, seul Dieu est saint. L'équivalent de l'homme « saint » des autres religions est le « juste », le tsadik (צדיק). La Torah utilise le terme hébreu qadosh, qui signifie « saint », « séparé » et par extension « pur » (exempt de fautes, de taches), pour désigner Dieu, le « Saint, béni soit-Il », ha-Qadosh baroukh-Hou (הַקָּדוֹשׁ בָּרוּךְ הוּא). Le message « Saint pour l'Éternel » se trouvait inscrit sur la plaque d'or (Tsits Hazahav) que portait le grand prêtre qui officiait dans le Temple de Jérusalem. Toute notion primaire de sainteté se rattache à Dieu qui, par son action, peut rendre saint (en séparant, purifiant) l'homme, le peuple, ou le lieu. De même, en employant le même terme de « saint », la Torah désigne le peuple d’Israël comme « un royaume de prêtres (princes, dans ce contexte) et un peuple saint » (Exode 19:6), c.-à-d. une nation remplissant le même rôle vis-à-vis du monde que le grand prêtre vis-à-vis du reste du peuple d’Israël.

Christianisme

Les titres de saint, bienheureux et vénérable correspondent aux étapes du Procès en canonisation de l’Église catholique visant à reconnaître de manière officielle comme "saint" un défunt baptisé. Même si l’Église compte d'innombrables saints, pour la plupart inconnus, et que tous les fidèles sont « appelés à être saints en vivant avec amour et en offrant un témoignage personnel dans [leurs] occupations quotidiennes, là où chacun se trouve », elle a souhaité en donner un certain nombre (dont la vie fut marquante par leur sainteté) comme exemple et « ami » à toute la communauté des croyants. Ce processus de reconnaissance se base sur la biographie du candidat, ses œuvres et les témoignages de ceux qui l'ont connu. Il y a alors trois critères essentiels dans le processus de reconnaissance : être mort en odeur de sainteté, c.-à-d. avoir eu un rayonnement spirituel après sa mort (réputation de sainteté qui doit être spontanée, durable, en croissance continue, et généralisée) ; avoir des témoins qui attestent de son martyre ou de sa vertu héroïque ; doit avoir accompli au moins deux miracles. Pour l’Église catholique, reconnaître la personne comme « sainte » revient à affirmer qu'elle se trouve dans la Vie éternelle en présence de Dieu (dans la vision béatifique), et qu'elle représente ainsi tel un frère aîné dans la foi pour le croyant en chemin sur terre. Ainsi, le « saint » devient pour tous à la fois un exemple de vie chrétienne, un enseignement pour le croyant, et aussi un intercesseur auprès de Dieu, tel que le prie par exemple l’Église catholique dans la Préface pour un saint pasteur du Missel Romain : « par l'exemple qu'il a donné, tu nous encourages, par son enseignement, tu nous éclaires, à sa prière, tu veilles sur nous ». La déclaration reconnaissant vénérable la personne défunte affirme que celle-ci mérite de recevoir une vénération locale ; celle le reconnaissant comme bienheureux (béatification) permet ensuite d'en faire l'objet d'un culte plus généralisé ; enfin, celle le reconnaissant comme saint (canonisation) conduit à un culte universel. De manière concise, la « sainteté » s'exprime comme le désir et la vocation de tout homme à rejoindre le Christ dans un état que l'on nomme « communion ». Il s'agit, selon l'Évangile, d'une action impossible à l'être humain mais pas à Dieu et qui se fait par la collaboration de l'être humain à l'action divine dans le monde. Le « saint » est donc toute personne qui parvient à cette proximité. Tout au long de l’Ancien Testament, on retrouve, comme dans le judaïsme, l’affirmation que seul Dieu est Saint. Cependant, par le baptême et l'adoption filiale qui s'ensuit, les chrétiens se trouvent associés et appelés à cette sainteté, une vocation universelle. L'apôtre Paul parle des saints pour désigner les chrétiens vivant dans telle ou telle ville. En ce sens, la sainteté exprime l'état de communion avec Dieu, dans l'Église, par le baptême. Les saints au sens strict sont ceux qui, comme « le bon larron » à qui le Christ dit : « Aujourd'hui, tu seras avec moi au Paradis », ont atteint la béatitude éternelle, contemplent Dieu au Ciel et intercèdent pour les êtres humains ici-bas (voir Liste des saints catholiques). Parmi les défunts, étaient réputés saints et vénérés comme tels les martyrs (mot grec signifiant « témoin ») (leur « baptême sanglant » effaçait tout péché) et les apôtres (choisis par le Christ). D'autres saints, comme certains ascètes, devaient recevoir la vénération plus tard. Ainsi, dès les premiers temps du christianisme, tous les fidèles ont une vocation à la sainteté et peuvent se trouver dignes de vénération posthume, aussi bien hommes que femmes, philosophes comme simples d’esprit, sans égard à leurs conditions sociales, esclaves ou aristocrates (voir saint Druon, saint Gerlac ou encore Benoît Labre au XVIIIe siècle), ce qui constitue une nouveauté radicale. De plus, jusqu'à l’invention de la procédure de canonisation au XIIIe siècle, la vox populi décide de la sainteté, pas la hiérarchie. Celle-là se fonde sur la pureté du saint, et la recherche d’un absolu à travers la foi. Cette recherche d’absolu peut conduire jusqu’au martyre, jusqu'à mourir ou endurer des tortures pour ne pas abandonner sa foi ; le martyre représente, jusqu'à notre époque, un moyen privilégié d’accéder à la sainteté. Petit à petit, la notion de sainteté s'élargit, et de nombreuses personnalités locales dans l'Église primitive et parmi les populations nouvellement christianisées ont acquis la réputation de sainteté. Aujourd'hui, la reconnaissance officielle du statut de saint passe par l'inscription dans le calendrier de l'Église appelé « martyrologe ». Pour les catholiques, les saints forment « l'Église triomphante » et intercèdent auprès de Dieu pour les hommes d'ici-bas (l'Église militante) et pour les défunts au Purgatoire (l'Église souffrante) : il s'agit de la communion des saints. Tous ces saints, pas forcément reconnus de manière officielle ici-bas comme tels, sont fêtés ensemble le jour de la Toussaint. La fête de la Toussaint, célébrée le 1er novembre, signifie, chez les catholiques, qu'au-delà du nombre restreint de personnes canonisées, c.-à-d. dont on affirme sans ambiguïté la sainteté et auxquels on peut adresser un culte, de nombreux chrétiens, voire non chrétiens stricto sensu (par exemple Abraham, Moïse, David, Job), ont atteint l'idéal chrétien : la communion avec Dieu. L'Église catholique romaine — par le biais de la canonisation — déclare être sûre de la présence des saints inscrits au martyrologe romain au paradis. Ils font donc l'objet d'un culte public (à l'instar de l'Église orthodoxe) dit culte de dulie (du grec δοῦλος, le serviteur), lequel s'oppose au culte de lâtrie (du grec λατρεία, culte, adoration) qui n'est dû qu'à Dieu. Dans le cas de Marie, mère de Jésus, une exception est admise, qui se nomme hyperdulie et qui se manifeste dans les sites d'apparition. Le culte de dulie revêt deux formes, la vénération et l'invocation. Cette dernière se concrétise par l'intercession. Lors de chaque liturgie eucharistique, aussitôt après la consécration, le prêtre élève les saints dons consacrés vers l'assistance des fidèles et proclame ; « les saints dons sont pour les saints ! », et les fidèles ou les chantres protestent ; « Un seul est saint, un seul est Seigneur, Jésus-Christ, à la gloire de Dieu le Père ». La sainteté, selon les orthodoxes, consiste en une participation à la vie du Christ et les saints portent ce qualificatif dans la seule mesure où ils sont christophores, c.-à-d. assez humbles et obéissants en la personne du Christ pour représenter fidèlement son image et en être une icône. L'Église orthodoxe ignore la notion de « bienheureux », le mot est synonyme de saint. Elle ignore aussi les procès en canonisation ou le nombre minimum de miracles requis pour proclamer saint un fidèle décédé. Lorsque la vénération de la mémoire d'un défunt se répand parmi les fidèles, le synode de l'Église concernée se réunit autour du primat (patriarche ou archevêque) et étudie la question de la sainteté de cette personne. Il arrive souvent que quelques icônes aient déjà été peintes à sa mémoire. La proclamation de la sainteté de la personne en question se fait ensuite en même temps que la détermination d'un (ou plusieurs) jour(s) de fête liturgique, la composition d'un tropaire (hymne en l'honneur du nouveau saint) et un office complet. Le canon iconographique du saint s'élabore ensuite petit à petit. Dans le calendrier orthodoxe, le premier dimanche après la Pentecôte se trouve consacré à la mémoire de tous les saints . Catégorie : saint orthodoxe, canonisation par la vox populi confirmée par le synode de l'Église locale. Catégorie : saint non chalcédonien, canonisation par la vox populi et par les autorités de l'Église locale. Le protestantisme se distingue du reste du christianisme entre autres par son refus du culte des saints (et de leurs reliques). La Bible déclare sainte toute personne ayant accepté le sang de Jésus versé à la Croix comme nécessaire et suffisant pour effacer ses péchés, car tous sont pécheurs devant Dieu (cf. Hébreux 10.29 et Romains 3.10-18). Ce sens du mot saint comme synonyme de chrétien est le plus courant dans le protestantisme. Cette confession insiste sur l'affirmation du salut à l'initiative de Dieu seul (sola gratia, sola fide, « seule la grâce, seule la foi... »), ce qui implique que « Dieu seul connaît ceux qui lui appartiennent ». De ce fait, les protestants s'abstiennent de déclarer quiconque plus saint que les autres, d'autant que la conception de l'après-vie varie selon les dénominations, voire les personnes. Dans le protestantisme classique (luthérien ou réformé), on appelle couramment saints les personnages du Nouveau Testament, sans que cela donne lieu au moindre culte, car pour l'ensemble des protestants, ce dernier n'est dû qu'à Dieu seul (Soli Deo gloria, « à Dieu seul la gloire »). Par tradition, plusieurs pays protestants ont conservé comme patron le saint réputé avoir joué le plus grand rôle dans leur évangélisation : sainte Brigitte en Suède, saint Olav en Norvège, etc.

Islam

Dans l'islam, le wali, « proche de Allah, l'ami de Allah » (walī Allāh ولي الله) peut être considéré (bien qu'avec une certaine prudence) comme l'équivalent du saint chrétien. Il se caractérise par ses grandes qualités d'âme, son renoncement aux biens matériels et sa profonde piété.

Hindouisme

Dans l'hindouisme il y a une multitude de saints, issus de nombreuses lignées. On en trouve certains exemples dans le livre The saints of Bengal (en anglais) et dans bien d'autres ouvrages.

Bouddhisme

Le terme de « saint » n'existe pas dans le bouddhisme. Ainsi, la désignation (récente) dans le bouddhisme tibétain du Dalaï-lama comme « Sa Sainteté », consiste en une simple accommodation au vocabulaire occidental (ce terme apparaissant sans doute plus sérieux pour un chef temporel que celui de « moine », « bhikshu du Bouddha », qu'adopte en général Tenzin Gyatso dans ses écrits). Le terme adéquat est « ārya » (sanskrit), que l'on traduit souvent par « noble » et qui désigne tout bouddhiste entré dans la voie. Ceux qui ont obtenu par leurs efforts une « réalisation » métaphysique appartiennent à un des quatre types d'êtres nobles, selon le niveau qu'ils ont atteint et le nombre de liens qu'ils ont brisé : sotapanna, sakadagamin, anagamin et arhat, ce dernier seul ayant « atteint » le nirvāna, l'Absolu. Dans ce cadre de référence, le bodhisattva n'est pas à proprement parler un « être noble », car il n'a pas brisé (de manière volontaire) les liens, mais la qualité de son éveil peut cependant le faire ranger parmi les āryas, selon le Mahāyāna.

Voir aussi

Saint catholique Liste de saints catholiques Attributs des saints Hagiographie Saints dans le bouddhisme : arhat | bodhisattva Saints dans le catholicisme : saints par ordre alphabétique | canonisation | sanctification | Vita Saints auxiliaires Saints dans le christianisme orthodoxe : icône | Liste des saints de l'Église orthodoxe Culte héroïque grec, Héros populaire, Héros national, Saint populaire (en), hors des grandes religions Évhémérisme, Liste des êtres humains qui ont été considérés comme des divinités (en) Ressource relative à la santé : (en) Medical Subject Headings Nominis: Site de Référence pour l'Église Catholique en France Millesimo : Liste chronologique des saints Le culte des Saints, sur le portail officiel de la liturgie catholique Terrain (revue d'ethnologie) no 24, mars 1995, La Fabrication des saints Saints dans les anciennes gravures. Collection De Verda [1] : site anglophone semi-officiel (en collaboration avec le Vatican), qui indique notamment année par année l'état d'avancement de chaque cause : ouverture du procès, béatification etc. Portail du catholicisme Portail des religions et croyances Portail de la théologie Portail du christianisme orthodoxe